Parce que, disait Merleau-Ponty, chaque objet est le miroir de tous les autres.
Mais pour celles et ceux qui préfèrent les fenêtres aux miroirs, pour ce qu'on y voit plus loin que le bout de son nez, ou celles et ceux qui ont quelque réticences à s'y voir en face, voici une concession acceptable qui brise le silence de l'abîme où l'on se perd dans la contemplation plus ou moins nette de son propre reflet.
Au-delà de la contemplation, parce qu'il est en open-source, à moins que ce soit un miroir aux alouettes, pour le fabriquer soi-même ou l'acheter tout fait, c'est par là.